Marie-Madeleine (Davy) devrait servir d'examen de passage à tout prétendant aux honneurs suprêmes ... + la règle en 12 points (par coeur) ... et là nous aurions une véritable pyramide ( salut Memphis ! ) ... du Devoir ... et cette réflexion semble malheureusement s'adresser à toutes les "Commanderies", je veux dire les Ateliers dits Supérieurs de tous les Rites, dont les "dysfonctionnements" égotistes (dites 33 !) pour les petits que nous sommes sont affligeants ... et navrants. Des gamins ces grands ... insupportables pour les cherchants ... pas ceux de Cosimo. Hélas !
Pour les beaux rêves cette nuit, c'est râpé ...
Demain sera un autre jour ... Forza Maçonnica !!!
TTCCFF,
j'ai récupéré une autre pensée, signée Bruno ETIENNE qui a écrit écrit dans La Spiritualité Maçonnique « Dès qu’ une confrérie s’ étale sur la place publique ,elle perd tout son pouvoir initiatique et se ravale au rang des associations répertoriées et déclarées d’utilité publique ,ce qui est fort honorable mais d’un autre genre :l’ autorité de la franc-maçonnerie n’ est pas de cette nature ….L ‘autorité et le pouvoir réel de la franc-maçonnerie ne peuvent se fortifier que dans le silence, peut-être même dans le silence absolu, et sous les apparences du non agir. L’ action se prépare dans le calme et la connaissance s’ acquiert dans le silence et la retraite spirituelle, à l’ abri des bruits du monde ,dans le secret de la loge et en laissant les métaux à la porte du temple ».
Je me demande si Marie Madeleine Davy et Bruno Etienne n'auraient pas du aller chercher une certaine sagesse auprès de qui vous savez, moi... Ils disent vraiment n'importe quoi !
Ce bref extrait peut être lu à plusieurs niveaux et n'est peut-être pas sans rapport avec l'évolution de la FM au XXI° siècle un peu partout dans le monde.
Marie-Madeleine Davy, L'homme intérieur et ses métamorphoses, p. 18
<< Aborder à une période de crise la dimension religieuse exigeait de poser la question des intermédiaires, c'est-à-dire d'envisager le rôle des clercs. Un certain nombre d'entre eux, séduits par un engagement politico social, renoncent à présenter un enseignement spirituel et de ce fait ne répondent plus à leur véritable fonction. Il est donc normal que l'homme moderne, attentif à la profondeur de son intériorité, cherche de plus en plus par lui-même les réponses aux questions qu'il se pose relativement à son perfectionnement personnel, à sa structure intérieure, à sa rencontre avec la mystérieuse Présence qui l'habite dans son propre mystère. >>