Un regard sur l’AG de la GLNF - 3

Mardi 7 février 2012 2 07 /02 /Fév /2012 00:18

Un regard sur l’AG de la GLNF - 3

Cette Assemblée générale laisse un goût amer à certains, plein de questions à d’autres... et tous, nous ne paraissons pas plus avancé.

Ce qui compte vraiment, et en toute finalité, c’est la réaction des Frères et nous allons vivre d’ores et déjà des heures passionnantes, et pleines de risques également.

Revenons un peu en arrière...

Malgré le verrouillage systématique de cette Assemblée générale et les interdictions en tous genres imposées par Maître Monique Legrand, des Frères ont osé braver les interdits. Certains ont pris des photos que nous vous avons présentés dans un article précédent, d’autres ont exprimé de vive-voix leurs mécontentements et retransmis en direct à leurs Frères les péripéties de cette après-midi particulière.

Enfin, des Frères ont enregistré deux moments « forts » de cette Assemblée générale qui n’ont pas fini d’être commentés : le vote des résolutions sur l’aspect financier et le vote sur le Président.

Ils ont tous exprimé leur désir d’affronter l’adversité rampante et insidieuse, les malversations et trucages dont les conséquences finales débouchent, non sur un constat d’échec que nous devons dépasser mais sur les réactions de défi au « désordre établi ».

Ce désordre-là a été engendré par un profane déguisé en Franc-Maçon et qui, pour cette forfaiture, restera banni à jamais de la Franc-Maçonnerie.

Pourtant les conséquences directes de ces votes sont claires.

Fort d’un vote d’approbation sur les résolutions 1 à 8 présentées lors de l’Assemblée générale de la GLNF, nous savons que la pression sur les Frères et les Loges pour les paiements des cotisations va s’accentuer.

Les futurs ex-pseudos GMPG et autres « coloquintes enrubannées » vont s’empresser de poursuivre et amplifier leur politique de harcèlement avec, cette fois-ci, l’amont de Maître Monique Legrand dont la position qui était légèrement inconfortable de son fait jusqu’à présent a été « remise en selle » par ces votes sur les résolutions budgétaires.

Les Loges se devront de répondre à des demandes de règlements dont les produits sonnants et trébuchants conforteront la position de l’équipe de spadassins pro-Stifaniens.

Toutefois, dans le marasme actuel, certaines Loges ont pris les devants ou sont en train de prendre en main leur avenir et de belle façon comme nous l’a indiqué le courrier du Vénérable Maître dans l’article « un regard sur l’AG de la GLNF - 2 »

Certains Frères lui ont répondu et nous vous laissons parcourir l’une de ces réponses dont les quelques lignes résonnent comme en écho chaleureux, fraternel et confiant à la missive du Vénérable Maître.

L’heure est certainement venue de faire le choix...

Merci cher Vénérable Maître pour ton travail courageux et précis. Bravo !
Hélas, tout cela était prévisible et ce n'est pas fini.

Le bon miel de nos fraternelles inclinaisons attire les « mouchames ».

Et maintenant, n'y a-t-il pas quelque danger à s'attacher, par le détail, à approcher tant de puanteur ? Ne contribue-t-on pas à la répandre ?
Les choses sont simples : notre maison a été vandalisée par notre propre incurie. Ne nous étonnons plus du résultat de notre laisser-faire. Et arrêtons de pousser des cris de stupéfaction.
Fort de cette expérience construisons une nouvelle maison, autrement.
Mettons tous nos efforts dans ce sens.

Evidemment, ne payons pas nos cotisations passées et encore moins à venir à ces vandales.
Je ne vois pas comment, Maître Legrand pourrait poursuivre une Loge qui n'existe plus et qui n'a d'ailleurs plus d'existence légale à leurs propres yeux.
Quittons ces rivages. Vite. La tentation est grande. Il ne faut jamais fixer la Gorgone. L'horreur fascine avant de tuer.

Pourquoi encore écrire des Lettres Recommandées avec Accusé de Réception ? Dans quel but étrange ?
C'est net. Partons. Partons, avant qu'il ne soit trop tard.
En tous cas, c'est mon point de vue depuis le début des évènements : soyons conscients de nos responsabilités et logeons ailleurs nos attentions.
Notre bateau est beau. L'équipage joyeux. La gouverne est forte et sereine.

D'autres bateaux se joindront à nous ou nous irons vers eux pour fêter la Liberté, l'Égalité, et pourquoi pas : la Fraternité...
Levons l'ancre dare-dare : le vent se lève et nous voilà prêt pour l'aventure.
Qu'en pensez-vous, mes Frères Bien-aimés ?
Je vous embrasse.

René DANJOU

Myosotis de Lutèce