Nous recevons beaucoup d'appels depuis hier, relatifs à la communication du dernier "Brèves".
Nous rappelons que François Stifani ainsi qu'Alain Cano, le Conseil d'administration et les Grands Maîtres Provinciaux (dont Henri Pons) ne sont que de simples membres depuis la démission de Stifani de son poste de Président de la GLNF, soit depuis le 21 Janvier 2011.
La Cour d'Appel, le 13 Janvier et le TGI de Paris depuis le 26 janvier, ont confirmé que la charge de Grand Maître est la même que celle de Président et inversement. Comment faudra-t-il l'expliquer à ceux qui ne se maintiennent contre vents et marées qu'accrochés à leurs dérisoires pouvoirs.
Le "communiqué" (il faudra un jour rendre compte de ces frais engagés sans justification) de "Brèves" sur la "décision de Grand Conseil" qui n'existe dans aucun statut, au sujet du fait que l'ULRF est une obédience, ressort des mêmes délires.
Si une obédience est créee, elle dira, le moment venu son nom, et ses statuts seront publics.
L'empressement que mettent ces gens à vouloir se débarrasser d'une opposition tout à fait légitime devient proprement scandaleux.
Tenez bon mes Fères.
La Grande Lumière commence à apparaître.
Bien fraternellement,
Le Collectif ULRF de G et G
Communiqué de l’Union des Loges Régulières Françaises du 26 janvier 2012
Un grand maître qui ne l’est plus depuis le 21 janvier 2011, la plupart des grands maîtres provinciaux nommés par lui après cette date ce qui leur enlève la moindre légitimité, un grand conseil qui n’existe pas dans nos Statuts et Règlements, viennent tous ensemble, de manière unanime, de décider que l’ULRF serait une obédience.
Cette prise de position est risible, tant par ceux qui prétendent nous l’imposer que par l’oubli par le même prétendu grand maître qu’il a rompu les relations avec la GLUA le 14 juillet, et est rejeté par un nombre chaque jour plus grand de Grandes Loges Régulières.
L’ULRF, par ses Statuts et par son comportement n’est en aucun cas une obédience, mais simplement un organe de défense des Frères d’une GLNF qui, sous la direction de M. Stifani, s’est mise au ban de la Franc Maçonnerie mondiale.
Elle crée un espace de dialogue et de travail pour tenter de retrouver la régularité perdue par le non-respect par M. Stifani et les siens des principes fondamentaux (intrusion du politique et du religieux, comportement ridicule devant les médias, opérations pas encore clarifiées sur la gestion des cotisations des Frères, etc..), et reconquérir la reconnaissance des corps maçonniques. Par ailleurs elle accueille tous les Frères et toutes les Loges exclues par le prétendu Grand Maître et ses spadassins pour délit d’opinion.
Il est clair pour toute la maçonnerie française que les Frères et les Loges qui la constituent cherchent simplement à dresser un rempart contre les errements odieux et permanents d’une direction désavouée, qui ne se survit à elle-même que par la rouerie de ses actions de procédure.
Cette déclaration du dernier carré des stifaniens dont les troupes parisiennes viennent de se distinguer par des actes de vandalisme et de vol dans l’un des temples restitués aux Frères par la Justice, n’est qu’un acte d’agression supplémentaire de ceux qui prétendent encore, malgré l’évidence, être investis d’une quelconque légitimité.
L’ULRF les remercie de leur zèle car les suspensions, radiations, retraits de Charte, interdiction de vote, manœuvres électorales, sont autant de méfaits qui amènent les Frères à nous rejoindre en nombre croissant. Il est vrai qu’en défendant nos Frères et nos valeurs fondamentales nous sommes porteurs d’espoirs et de fraternité.
Dans les sociétés dont les dirigeants font de l’abus de pouvoir des associations se chargent de défendre les intérêts des petits porteurs. De même, en dépit des menaces en tous genres, l’ULRF continuera à défendre le droit des Frères à pratiquer la Maçonnerie régulière et traditionnelle digne, sereine et propre pour laquelle ils étaient entrés à la GLNF, avant que les signataires de la « Brèves » de ce jour prennent le chemin sectaire du refus de l’autre en oubliant les vertus de la fraternité.
________