Alors que Maître LEGRAND vient de rappeler qu'EPHESSE 1er et ses comparses pouvaient continuer à faire "mumuse" mais sans pouvoir engager de dépenses, alors qu'"Al CANO" depuis qu'il est officier provincial de Guyenne & Gascogne a su présenter des notes de frais, des Frères de Guyenne & Gascogne s'inquiètent pour lui
A.C. CET HOMME EST UN SURHOMME !
Certains l’appellent le « Cano de sauvetage ; d’autres, férus d’histoire, aiment à lui confier une parenté avec le navigateur basque « EL CANO » ; d’autres, enfin, mais ce n’est pas exhaustif, parlent de lui « alaintérieur ».
Mais n’ont-ils pas tous une vision trop simpliste du personnage, une perception étriquée du grand homme, une vue de myope devant l’éclatante puissance de l’homme providentiel qui s’est hissé à la deuxième place d’une hiérarchie « à l’insu de son plein gré » ?
L’homme Cano n’est-il pas revêtu d’habits de lumière à aveugler les péones que nous sommes ?
N’est-il pas sculpté dans une matière qui n’a plus rien d’humain tant ses capacités donnent le vertige, le tournis ou le voile noir ?
N’est-il pas en possession d’un secret, celui du principe de la contraction-dilatation du temps, pouvant transformer une semaine de labeur en une seule journée ?
Un quasi Dieu à l’instar de son Maître EPHESSE 1er !
Tout simplement, en partant d’un simple constat.
A.C. est Proviseur dans un établissement de l’éducation nationale à Bayonne, donc à 5 heures de train a minima de la capitale qu’il n’aime pas mais qu’il fréquente beaucoup, un de ces paradoxes qu’il aime manier avec dextérité.
On le signale très souvent à Paris où ses talents éblouissent EPHESSE 1er et son animalerie princière.
Or, quand on connaît la lourdeur des tâches d’un Proviseur, on peut se demander comment notre grand homme fait, pour prendre le temps qu’il n’a pas, afin d’exercer ses nobles talents rue Christine de Pisan.
Aurait-il pu bénéficier d’une autorisation hiérarchique bienveillante lui permettant de prendre du temps sur celui de son service ?
A-t-il pu bénéficier d’une délégation quelconque l’autorisant à exercer ses incommensurables talents d’enfûmeur public numéro 1 dans une capitale trop longtemps privée de ses services ,là où justement il disait ne pas nous en préoccuper et de ne vivre en paix que dans nos loges car la seule vérité résidait là ?
Nous pensons à la souffrance de ses élèves qui doivent se sentir bien démunis quand il n’est pas là.
Peut-être aussi que ses adjoints font aussi le travail …ils lui témoigneront une gratitude certaine !
Quant aux syndicats, ça leur fera un peu moins de tracas.
Et qui paie tout ça, ce temps passé à des activités associatives philosophiques ? Le Contribuable, le Maçon ou les Deux ?
N’ayant pas la même hauteur de vue que sa Seigneurie, nous faisons appel à lui afin que nous, ceux qu’il a su sensibiliser à l’étude de Lévinas et de l’éthique, on puisse comprendre par quel tour de magie il peut cumuler deux activités aussi lourdes que prégnantes sans préjudice pour l’éducation nationale et les deniers publics ou maçonniques.
Allez Alain, on attend tes explications avec impatience !