Samedi 11 février 2012
La bataille de la GLNF : Un Armistice de dupe
La contre-offensive éclair, véritable Blietzkrieg, menée de main de Maître par Monique Legrand a laissé le camp stifanien exsangue ; les arguments assénés par l’administrateur de la GLNF ont littéralement laminés les troupes du petit duce.
Pour lui, il n’est plus question de minauder et de gagner du temps puisque l’initiative est vraiment à l’avantage de Monique Legrand.
Par ailleurs, Jean-Michel Baloooo, sans doute vexé, blessé, humilié par le lâchage public de son maître es-manipulation a laissé le petit timonier se débrouiller tout seul.
François Stifani semble ne plus rien maitriser et son pseudo Conseil bat de l’aile.
Il lui faut sortir le drapeau blanc...
Le connaissant, nous pouvons nous douter que cela ne peut pas se faire de façon directe et sans contreparties.
Découvrons donc la suite de ces échanges d’amabilités entre l’ex futur pseudo-petit dictateur démissionnaire et Maître Monique Legrand dans cette bataille sans merci qui pourrait mener à la capitulation du petit dictateur de Pisan et la reddition de toute sa petite troupe de Lapins crétins... !
Nous vous présentons les différentes phases en différents articles afin de faciliter la prise en compte des arguments développés par les protagonistes de « La bataille de la GLNF ».
Restez sur vos gardes, l’animal est blessé mais ne s’est pas encore rendu... !
Le drapeau blanc de l’Armistice ?
Lettre de François Stifani (document) à Maître Legrand du mardi 07 février 2012
La guerre menée par François Stifani semble tourner à son désavantage.
Aussi, le petit dictateur s’en rendant compte emploie la tactique de l’enfumage.
Après une pause, suite au tir de barrage et à la contre-attaque éclair de Maître Legrand, l’ex pseudo GM démissionnaire cherche visiblement à calmer le jeu en sollicitant un rendez-vous auprès de l’administrateur...pour un armistice ?
Il est vrai que la contre-offensive a fait des dégâts et les pertes sont lourdes :
Jean-Michel Baloooo a pris la poudre d’escampette mortellement blessée dans son orgueil
Henri Sidéry a été contraint de se retirer du front ainsi que toutes ses troupes administratives devant la violence de l’assaut
François Stifani, lui-même semble affaibli ce que démontre ce courrier ne forme de drapeau blanc !
Mais cette nouvelle phase de la bataille n’est pas aussi « clairement écrite » qu'il y paraît. Car même si notre petit dictateur sinistre présente d’une main droite sa lettre d’amende honorable en véritable faux béni-oui-oui, il tient dans sa main gauche, bien dissimulée, un piège mortel assez nauséabond : la flatterie.
En s’adressant à Maître Legrand, en tant qu’Administrateur judiciaire, le petit duce lui confirme tout le bien qu’il a toujours pensé d’elle : "Je vous ai accordé ma confiance dès notre première rencontre (en fait, François Stifani savait très bien qui était Monique Legrand puisque c’est lui qui l’a indirectement, via ses conseils, et avec perversité proposé lors de la confrontation dans le bureau du Juge Kurz)....c’est avec vous que j’aimerais envisager les suites à donner aux votes de cette Assemblée".
Il est question essentiellement de reprendre les termes du courrier de Jean-Michel Baloup et de signifier à Monique Legrand que ces propos n’engageaient que l’ex pseudo « Haut-Rateur » illégal démissionnaire.
Cela s’appelle un lâchage sans parachute !
Autrement dit, qu’elles que soient les analyses juridiques de nos Frères que je crois bien attentionnés...ils disent n’importe quoi, et c’est ma parole qui prévaut même s’il s’agit de mes avocats.
Là, c’est vraiment du lâchage et du dénigrement blessant.
Nous pouvons comprendre la réaction de Jean-Michel Balooo de démissionner, non ?
Ou alors, tout ceci est écrit en concertation et nous avons affaire, là encore, à une belle machination avec la démission feinte de notre « Haut-Rateur ». Avec ces lascars, on peut s’attendre à tout.
La lettre se termine comme d’habitude par des circonlocutions débiles sur la logique de conflit qui est entretenue par une certaine opposition dont la principale arme a été celle du dénigrement.
Dans le style, « c’est pas moi, M’dame, c’est l’autre », on ne fait pas mieux !
Et, bien entendu, comme pour mieux rabaisser l’adversité à ses visées vulgairement matérielles et se situer au-dessus de la mêlée (c’est moi le garant du(es) bien(s) de l’Ordre), François Stif. nous sert son argument choc : « la Grande Maîtrise n’étant qu’un obstacle à une volonté de mainmise sur l’Obédience et ses actifs. »
Autrement dit, les « méchants » de l’opposition ne visent que les biens de la GLNF et je ne suis qu’un modeste obstacle-prétexte...
Cet homme est vraiment inconscient des réalités ou alors...
Nous pourrions nous dire, à ce moment précis du conflit, que l’Armistice est en bonne voie et que Maître Legrand va se laisser soudoyer par cette manœuvre du petit guide auto-éclairé démissionnaire ?
La suite des évènements nous confortera dans le fait que François Stif. est vraiment au fait de son art en tant que pervers narcissique manipulateur...
Par myosotislutece