La Bataille de la GLNF : Le piège métallique
Nous avons laissé François Stifani en proie au doute, certainement même à la peur, suite au courrier cinglant expédié par Maître par Monique Legrand qui en tant qu’administrateur de la GLNF souhaitait que le Droit soit respecté une bonne fois pour toute après ces mois et mois (émois) de tergiversations...
L’échange a été d’une extrême violence et le petit duce y a laissé au passage quelques plumes comme son bras-droit juridique, Jean-Michel Balooo, alias le Grand « Haut-Rateur », qui a préféré abandonner son maître es-manipulation à son triste sort.
Sous le choc, l’ex pseudo petit Gourou auto-déclaré a alors élevé le drapeau blanc et a entamé une manœuvre pour se rabibocher avec Monique Legrand ; les négociations devant notamment mener à une Armistice.
Mais, le fameux courrier du dictateur sinistré du mardi 07 février 2012 n’avait-il que cette finalité ?
Après une succession de rodomontades, une nouvelle Brèves-Lotus et deux réunions illégales dans les locaux de Pisan et sentant que la moutarde monte au nez de l’administrateur, François Stif. engage alors le deuxième volet de son armistice factice.
N’ayant plus à sa botte Jean-Michel Balooo, il se trouve contraint d’envoyer au casse-pipe un nouveau Lapin crétin en la personne d’Olivier Pard..
Voici donc la suite de la saga du petit dictateur démissionnaire.
Mais...parlons plus bas, car il pourrait bien nous surprendre... !
La défense de la cause
Lettre de Maître Olivier Pardo, (document) avocat de François Stifani à Maître Stéphane Dumaine-Martin du 09 février 2012
Constatant les dégâts après son propre lâchage de son Orateur et suite à sa démission, François Stifani envoie des troupes de réserves munies d’un drapeau blanc. Cela s’appelle une demande d’Armistice, non ?
Pas du tout... Il s’agit d’une ultime manœuvre de contournement qu’avait bien préparé son courrier du mardi 07 février à l’attention de Maître Legrand.
Par la voix de son avocat Oliver Pardo, François Stifani indique à cette dernière que, tout compte fait, c’est lui-même qui prend acte des décisions de l’Assemblée générale et réitère sa décision d’anticiper l’élection à la Grande Maîtrise constitutionnellement prévue en septembre 2012 et d’organiser le vote du Souverain Grand Comité avant fin juin 2012.
Comment lire ce délire et ce nouveau chef-d’œuvre de perfidie ?
C’est un réflexe, devenu une habitude chez ce monsieur, que de s’attribuer des paroles et des actes dont il n’est pas l’auteur (irresponsable mais responsable ? non, coupable mais coupable !). Souvenez-vous en particulier de son courrier à la Grande Loge Unie d'Angleterre !
D’une part, vous avez tous entendu dire et répéter François Stifani en amont, au cours et à l’issue de la Tenue de Grande Loge du 03 décembre 2011 qu’il ne rendrait son mandat qu’à la fin de l’année 2012.
D’autre part, par cette remarque, il introduit de nouveau l’existence du Souverain Grand Comité et les procédures d’élection actuellement y afférentes dans les pattes de Maître Legrand afin de baliser le terrain d’action de l’administrateur. Ce faisant, il utilise les statuts de la GLNF dévoyés et manipulés depuis 1987 et qui lui sont favorables.
Ultime argument afin d’empapaouter l’administrateur, le voilà qui sollicite de Monique Legrand le fait que sa mission sur le plan civil soit prolongée en étant désignée comme administrateur provisoire.
Machiavel n’aurait pas fait mieux et doit se retourner dans sa tombe d'être tombé sur plus fort que lui...
Effectivement, en étudiant cette demande du petit duce, faisant semblant de présenter sa reddition à l’administrateur, nous pouvons nous poser la question : Pourquoi ?
Sans doute là, notre petit guide auto-décrédibilisé s’attaque au point réputé faible de Maître Legrand : sa rémunération !
En effet, la rémunération d'un Administrateur provisoire est en principe fixée dans l'ordonnance le désignant et elle est le plus souvent à la charge de la structure.
Ce qui signifie que c’est le Juge qui devra dans ce cas fixer les honoraires de Maître Legrand et non plus un accord entre François Stifani et elle-même, comme cela a été réglé entre ces deux acteurs au début de la mission fixée par le Tribunal de Grande Instance.
Nous pouvons penser que les conditions étaient suffisament favorables pour que l'administrateur, selon l'opinion de l'ex Gourou auto-éclairé, soit sensible aux arguments métalliques.
Par ailleurs, il est certain et a contrario que cette idée a forcément traversé le cerveau de l'administrateur car compte tenu des évènements de l'Assemblée générale du 04 février et de ce fameux article n°9, elle a du réaliser (et peut-être que certains y ont contribué également) que la seule solution pour sortir de l'impasse serait de se faire nommer administrateur provisoire.
Là encore, nous sommes amenés à penser que François Stif. aurait trouvé un moyen de la doubler sur ce coup; car en la devançant par son anonce, il gardait l'initiative...tout au moins dans son esprit. (et l'on connaît que trop ce dont il est capable...)
A ce moment précis de la négociation, on peut se poser la question de savoir comment Maître Monique Legrand va réagir.
Va-t-elle céder au chantage, à l’intimidation ?
Va-t-elle se rétracter et laisser le champ libre aux manipulations du Souverain Grand Comité par François Stif. ?
Va-t-elle...va-t-elle?
Le suspense est à son comble...
Par myosotislutece